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La mutuelle d’entreprise, aussi connue sous le nom de complémentaire santé collective, offre aux salariés des remboursements complémentaires à la Sécurité Sociale de leurs frais de santé. Une bonne mutuelle est un atout considérable au sein d’une entreprise en matière d’avantages en nature, pour fidéliser ses collaborateurs, mais également pour attirer de nouveaux talents.
Certaines missions nécessitent que les salariés restent en veille pour pouvoir intervenir en cas d’urgence ou pour résoudre un problème. C’est ce que l’on désigne sous le terme d’ « astreinte ». Pendant la période d’astreinte, le salarié se trouve dans une situation intermédiaire : il ne travaille pas vraiment, mais doit tout de même rester à la disposition de son employeur.
Mais comment fonctionne l’astreinte ? Comment la mettre en place ? Quelle rémunération pour le salarié ? Que se passe-t-il en cas d’intervention ?
Dans cet article, nous vous proposons un éclairage sur ce que dit la législation sur l’astreinte.
L’employeur a le droit de surveiller l’activité des salariés à distance de la même manière que s’ils étaient sur site, étant donné que le télétravail est une modalité d'organisation du travail. Cependant, ce droit comporte des limites et certaines règles sont à respecter. Comment les services RH peuvent-ils aider et accompagner les managers dans la gestion et le contrôle à distance de leur équipe ?
Construire une équipe diversifiée et talentueuse est un élément clé de la réussite d’une entreprise. Mais avez-vous déjà considéré la valeur que les seniors peuvent apporter à cette dernière ? Souvent confrontés à des barrières à l’emploi, les seniors présentent pourtant de forts avantages pour votre organisation.
76% des professionnels des RH se montrent sceptiques vis-à-vis de l'utilisation des outils de l’intelligence artificielle (IA). Mais derrière ce chiffre se cache une réalité plus nuancée, témoignant d'un terrain fertile pour l'innovation et le progrès. C’est ce que révèle le sondage Opinion Way pour Kelio.
Cette enquête a été réalisée sur un échantillon de 301 responsables des ressources humaines (RRH/DRH) d’entreprises privées de 20 salariés et plus, du 21 février au 11 mars 2024, en France.
Dès son entrée en vigueur, le Règlement Général sur la Protection des Données (dit « RGPD ») (Règlement UE 2016/679 du Parlement Européen et du Conseil du 27 avril 2016) a imposé aux entreprises – de toutes tailles – de nouvelles obligations en matière de protection des données personnelles, induisant de nombreux changements en interne.
Toute activité salariée ouvre droit à un certain nombre d’heures de congés payés. Ces derniers sont indépendants des éventuelles heures de Réduction de Temps de Travail, dont le calcul s’effectue sur le dépassement des 35 heures de travail par semaine prévues par la loi.
En France, la durée du temps de travail est encadrée par la loi, et les règles que l’employeur doit respecter sont inscrites dans le code du travail, qui a régulièrement évolué depuis sa création en 1910. Lorsqu’un salarié signe un contrat de travail avec une entreprise, le temps de travail qu’il doit effectuer est déterminé soit par un volume horaire hebdomadaire, soit par un forfait avec une durée annuelle.
Le droit aux congés payés est garanti à tous les salariés sous contrat avec un employeur : il est obligatoire, en France, d’accorder un certain nombre de semaines de congés payés en fonction du temps de travail qui a été effectué. Mais quelle est la période de référence utilisée pour faire le calcul de la durée des congés payés dont le salarié fait l’acquisition ? Que dit la loi sur les règles qui régissent la prise des congés payés et la période pour laquelle ces congés sont éligibles ? Nous allons voir les dispositions existantes et prévues par le code du travail.